Un service endocrino injoignable, dix mail auquels personne n'a jamais répondu et une quarantaine d'appels basculés sur une messagerie automatique qui vous demande de rappeler ultérieurement. Y'a-t-il un pilote dans l'avion ? Les personnes qui appellent sont malades, leur temps et leur énergie sont précieux, pour certains patients, ce temps est compté. Des négligences effrayantes qui peuvent avoir des conséquences dramatiques.
C'est bel et bien la fin de l'hôpital public.